Cécile
tape la première partie haute de la corde avec
une baguette de la main gauche pendant que la main
droite frotte l'autre partie avec un archet fait maison.
Ensuite sa position corporelle est justifée
par le fait qu'avec son buste elle exerce une pression
sur le manche pour faire varier la hauteur du diapason
de la corde tendue. Le
résultat sonne vraiment bien.
Sonia
a ajouté à son monocorde une percussion
avec un couvercle cloué sur le manche qu'elle
frappe sur le sol quand elle joue.
L'ensemble fonctionne bien.
Sur
le monocorde de Mylène, on peut entendre un
grésillement qui est en fait une rondelle placée
sous le fond de la boite et qui sert à l'origine
pour bloquer la corde, mais il se trouve que cette
rondelle se met à vibrer lorsqu'on frappe la
corde. Un bel effet obtenu comme sur celui des sanzas.